Désormais à la mi-parcours, les leaders de la classe Ocean Fifty, Quentin Vlamynck, Sébastien Rogues et Erwan Le Roux commencent enfin à toucher le régime de vent de nord-est tant désiré. « Ils sont faiblards, mais ce sont bel et bien des alizés depuis ce matin », a commenté le skipper de Koesio après une nuit un peu compliquée, en bordure de l’anticyclone des Açores, la faute à vents instables mais aussi et surtout un peu plus mollassons que ses deux adversaires directs, positionnés légèrement plus au sud, et donc un peu plus éloigné du centre de hautes pressions atmosphériques. « Je ne suis pas très content de moi. Je me suis un peu arrêté dans la molle ces dernières heures, plus que les autres en tous les cas », a détaillé le Trinitain. De fait, alors qu’il était parvenu à resserrer les rangs depuis hier soir, et à revenir à seulement 15 milles du tableau arrière du leader, Erwan a vu l’élastique se retendre dans l’autre sens aux environs de 5 heures ce matin. Résultat des courses, le voilà 3^e au pointage, ce mercredi à la mi-journée, à 45 milles du premier. « Ce n’est pas grave. Il reste trois jours pour jouer et on va le faire jusqu’au bout. On se tient en moins de 50 milles, ce qui n’est vraiment pas grand-chose à ce stade de la course. Le match reste ouvert en grand. On ne lâche rien ! », a assuré le Morbihannais, peu après la victoire de Charles Caudrelier à la barre du Maxi Edmond de Rothschild, chez les Ultim 32/23 dans cette 12^e Route du Rhum. « C’est un favori logique qui gagne. C’est bien. Bravo à lui et à sa belle machine ! », a terminé Erwan qui va pouvoir allonger la foulée dans les heures qui viennent et cavaler, enfin, plein gaz sur l’autoroute des Antilles.

Désormais à la mi-parcours, les leaders de la classe Ocean Fifty, Quentin Vlamynck, Sébastien Rogues et Erwan Le Roux commencent enfin à toucher le régime de vent de nord-est tant désiré. « Ils sont faiblards, mais ce sont bel et bien des alizés depuis ce matin », a commenté le skipper de Koesio après une nuit un peu compliquée, en bordure de l’anticyclone des Açores, la faute à vents instables mais aussi et surtout un peu plus mollassons que ses deux adversaires directs, positionnés légèrement plus au sud, et donc un peu plus éloigné du centre de hautes pressions atmosphériques. « Je ne suis pas très content de moi. Je me suis un peu arrêté dans la molle ces dernières heures, plus que les autres en tous les cas », a détaillé le Trinitain. De fait, alors qu’il était parvenu à resserrer les rangs depuis hier soir, et à revenir à seulement 15 milles du tableau arrière du leader, Erwan a vu l’élastique de retendre dans l’autre sens aux environs de 5 heures ce matin. Résultat des courses, le voilà 3^e au pointage, ce mercredi à la mi-journée, à 45 milles du premier. « Ce n’est pas grave. Il reste trois jours pour jouer et on va le faire jusqu’au bout. On se tient en moins de 50 milles, ce qui n’est vraiment pas grand-chose à ce stade de la course. Le match reste ouvert en grand. On ne lâche rien ! », a assuré le Morbihannais, peu après la victoire de Charles Caudrelier à la barre du Maxi Edmond de Rothschild, chez les Ultim 32/23 dans cette 12^e Route du Rhum. « C’est un favori logique qui gagne. C’est bien. Bravo à lui et à sa belle machine ! », a terminé Erwan qui va pouvoir allonger la foulée dans les heures qui viennent et cavaler, enfin, plein gaz sur l’autoroute des Antilles.